Ces derniers auraient pu être la source d’une réelle tension dramatique et servir le discours de fond sur la musique et son apport. Si l’aspect « magnifique » que vous mentionnez est bel et bien présent (on pense aux travellings dans le club parfaitement maîtrisés), on aurait aimé avoir davantage cette dimension « Cassavetes », proche du film noir des années 70-80.

), croient connaître le jazz et n’ont pas eu leur dose de série formatée !Loin de là l’idée d’exiger une série formatée, on aurait préféré une série plus originale, s’appropriant l’univers parisien sans offrir une vision trop aseptisée…Il est dommage que la série ne soit pas plus axée sur le jazz et se perde dans des intrigues farfelues proches du thriller de seconde zone. Il est frustrant de ne pas en savoir davantage sur les corrélations possibles entre religion et musique, effacées au profit de dialogues redondants ou de séquences contemplatives trop longues et dénuées d’intérêt. Pour s’approprier tout le potentiel d’un sujet si riche, on aurait sûrement préféré voir quelqu’un de plus audacieux derrière la caméra et davantage de prises de risques visuelles. Là où une série comme Le début de l’épisode trois, filmé à l’aide d’un téléphone portable, révèle les moments heureux vécus par Elliot, Farid et leurs amis au sein du club. Cette propension à fédérer est pourtant soulignée dans un épilogue plaisant, mais incohérent et omettant toutes les péripéties de cet ensemble trop vaste et confus. Après un début prometteur, cette série qui se focalise sur les mésaventures d’un club de jazz parisien déçoit par son manque de profondeur et la multiplicité d’intrigues superflues.Tout débute pourtant parfaitement : Elliot et Farid, passionnés de musique, gèrent un club de jazz dans le 18ème arrondissement de Paris. La représentation de Paris n’est elle aussi, pas désagréable, quoi que sous-exploitée et parfois stéréotypée. Le plan séquence initial souligne habilement tous ces enjeux et montre que contrairement à Suite à un événement tragique des plus étonnants, le récit prend la direction d’écueils inévitables. Là où une série comme Validé parvenait malgré ses imperfections à dévoiler les facettes cachées et destructrices du monde du rap, THE EDDY n’est qu’un pamphlet sans saveur qui s’éparpille dans de trop nombreuses directions pour traiter convenablement de la démence générée par le jazz.

Si la faillite est entrevue, un groupe résidentiel créé par le premier nommé commence à jouir d’une bonne réputation et pourrait prétendre à un enregistrement. THE ROOM, la chambre des secrets de Christian Volc…

Après quelques heures passées avec les personnages de Votre e-mail est collecté et utilisé par MK2 pour envoyer la newsletter TROISCOULEURS. Surtout, la multiplicité des personnages et le manque d’ambition scénaristique deviennent vite une entrave à l’empathie pour cet ensemble trop abstrait.Le spectateur, à la manière d’Elliot face aux problèmes se démultipliant, ne peut qu’être excédé en visionnant les épisodes 6,7 et 8. The Eddy est un drame sous fond de musique de jazz, et non l'inverse.

La conclusion d’un concert lassant, où de trop nombreuses fausses notes se sont regrettablement immiscées.Professeur de lettres modernes en collège ayant poursuivi des études de cinéma de la seconde à bac +5, cinéphile quotidien sur mon temps libre, projette d'enseigner le cinéma à la faculté et au lycée dans les années à venir.Complètement raté , on s ennuit, pas de scénario , hors sujet, mal traité ,et pourtant avec le jazz… Paris….

The Eddy : une série sans fard sur le jazz et Paris (critique) The Eddy : une série sans fard sur le jazz et Paris (critique) le 08/05/2020 à 10:12 par Pierre Lunn Ce rapport conflictuel qu’entretient Eliott avec le monde qui l’entoure dessert ces instants sacrés où le jazz-band réunifie en se produisant, exhibe sa capacité à concilier malgré les différences. Alors que le parallèle avec la banlieue aurait pu donner naissance à un apologue où le jazz parvient à vaincre les clivages sociaux, il n’en est rien. C’est au contraire de nombreux clichés qui sont véhiculés.

Du frère encombrant et violent emprisonné par son milieu social à la chanteuse talentueuse indécise quant à sa carrière, peu de rebondissements surprennent. Malheureusement, le déséquilibre dans la narration est préjudiciable et fait perdre de la crédibilité à un ensemble trop hétéroclite.Pour l’instant, les premiers épisodes me plaisent énormément grâce notamment à ces « vrais » musiciens hors pairs et ces excellents acteurs-actrices. Série très ennuyeuse terriblement mal écrite , lenteur intrigues nombreuses et sans intérêt…..Effectivement, sans connaître spécifiquement ce milieu, je suis assez d’accord avec votre avis et la déception n’est que plus grande en voyant le potentiel scénaristique de la série…C’est une série magnifique. Le procédé consistant à s’attarder durant chaque épisode sur un personnage écarte la narration de son principal sujet : la musique et l’union sociale qu’elle peut engendrer. On est pas focalisé sur la musique mais plus sur Eliott, le héros de la mini-série. C’est dommage. Certains personnages y disparaissent au profit d’autres, inutilement importants.



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